Sujet: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Dim 19 Fév - 2:12
Okaeri Mina !
Je n'écris réellement que depuis novembre dernier, alternant des textes courts, poétiques, merveilleux ou dramatiques. Merci à marianne pour l'ouverture de la partie :)
Ebauche sur les lamas.
Spoiler:
Qu'on se le dise consoeurs, confrères Terriens , si dans ce bas monde il ya une chose qui nous intrigue, ce serait sûrement le lama, cet animal hypnotique. Membres du club anti-lamas, je vous demanderai de passer votre chemin mais rassurez-vous peut être nous recroiserons nous un jour. Alors là, je prie pour vous. je ne suis que l'image d'un folie incensée et ne peux donc m'exprimer avec plus de clarté. Les lamas sont des animaux majestueux, bien trop peu considérés, un peu trop détestés. Une recette qui fait effet, dans un grand, très grand saladier, mettez un lama, ajoutez une cuillère de malice, goûtez c'est fantastique.
Lama un jour, lama toujours, voici donc l'hymne des lamas. A apprendre, à connaître je vous en remercie.
Trois petits chats
Spoiler:
Ils étaient trois, trois petit chats, tous les soirs, dans le noir, perchés sur un arbre. La queue pendante, le regard perçant, ils semblaient vouloir me dévorer. Un soir, en rentrant, ils n'étaient plus que deux, deux petits chats dans le noir, perchés sur un arbre. Je me suis posée des tas de questions, ne suis arrivée à qu'une seule conclusion, Pour le premier minet, c'était terminé. Un autre soir, en arrivant, j'ai vu un petit chat, seul dans le noir, perché sur un arbre. Je me suis posée des tas de questions, ne suis arrivée qu'à une seule conclusion. Pour le second minet, c'était terminé. Bien plus tard, un soir, en marchant, j'ai regardé l'arbre, espérant retrouver mes trois minets. Mais j'étais seule, ce soir, dans le noir. Je me suis posée des tas de questions, ne suis arrivée qu'à une seule conclusion. Pour le dernier minet, c'était terminé. J'ai fais un pas, regardé mes pieds. Je me suis posée des tas de questions, n'ai trouvé aucune solution. Je me suis néanmoins demandée, combien de temps encore, marcherai-je seule, le soir, dans le noir. Pour la première fois j'ai pleuré, pour la dernière fois j'ai marché.
Monsieur chat
Spoiler:
Comme tous les vendredis soirs, alors que le soleil déclinait, je rentrais chez moi tout en gardant le même pas lent et hésitant. Je marchais ainsi, le long d'un vieux chemin terreux et recouvert de gravats. Il n'était jamais très agréable à pratiquer mais je prenais toujours plaisir à observer le paysage, changer autour de moi, à sentir le vent sur mon visage. J'étais très vite transportée, au pays des rêves je me trouvais à présent. Je m’imaginais, grande héroïne, confrontée à de multiples dangers. Je devenais une grande aventurière que tout le monde implorait, je chassais des dragons, sauvais des villages entiers d'un funeste destin. Alors que j'étais plongée dans mes pensées, la nuit était déjà tombée. A cause de l'obscurité grandissante, j'étais obligée de relever la tête et de me concentrer. Non loin de moi, les traits de ma maisons se dessinaient. Mon cœur se réchauffait et je pressais le pas ayant hâte de retrouver mon chez-moi. Ma famille, mon lit, mon jardin, que j'avais quittés depuis maintenant un mois, commençaient à me manquer. Mais j'étais habituée maintenant, c’est comme ça lorsque qu'on vit en pensionnat, à l'écart, loin de tout, un peu comme dans un rêve. Mais ce soir là, tout ne se passa pas comme prévu. Au lieu de retrouver ma maison avec ses fenêtres éclairées et la porte grande ouverte, je faisais à présent face à une petite maisonnette, grise, la peinture craquelée. Je dois avouer que je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait. Les lieux semblaient abandonnés alors que je ne les vais quittés que depuis une semaine. Et à ma grande surprise, il n'y avait pas que la maison qui était transformée, au lieu de me trouver dans une charmante prairie, l'herbe verte, parsemée de fleurs, c'était à présent un affreux marais qui m’entourait. Désorientée, je me mis à regarder tantôt à droite, tantôt à gauche, scrutant les horizons, cherchant à savoir si je ne m'étais pas trompée de route. Malheureusement, il me semblait que non, c'était bien ici que se trouvait jadis ma maison. Désemparée, je me laissai tomber par terre et ramenai mes genoux contre ma poitrine, pensant que je faisais tout simplement face à un cauchemar. Malgré la sinistre ambiance qui régnait, quelques oiseaux chantaient encore. Puis, plus rien, le temps semblait s'être arrêté. Des sanglots m'échappèrent, puis le désespoir s'installa quand, d'un coup, un bruit déchira le silence. - Miaou ! Je fus surprise, Miaou ? Que pouvait donc bien faire un chat dans un endroit pareil ? Je me levai rapidement et me retrouvai nez à nez avec un chat mesurant près d'un mètre soixante dix de haut. Outre sa taille sa taille démesurée, il me parut bien étrange. L'animal me souriait et tenait dans sa patte droite un parapluie dont il ne restait plus que la carcasse en métal. Même si j'étais un peu effrayée (oui, il est vrai qu'il est rare d’apercevoir un tel spécimen dans nos contrées), je m’efforçai de le détailler. Il était plutôt imposant, gros même, et était entièrement recouvert de poils blancs et caramel. Son visage, lui, était quelque peu intimidant avec son large sourire et ses grands yeux jaunes. Je peux vous dire qu'il aurait fait fuir n'importe quel humain sensé. Pendant que je l'observai, il inspecta quelques secondes son parapluie puis il se tourna de nouveau vers moi. _ Miaou, il n'est pas prudent pour une jeune fille de se promener par ici vous savez. _ Excusez moi, mais, êtes vous un chat ? _ Et vous ? M'avez vous entendu ? commença -t – il à gronder. _ Je vous retourne la question, lui répondis-je simplement. Étrangement, au lieu de me réprimander pour mon insolence , il se contenta de lever les yeux vers le ciel gris, néanmoins dépourvu de tout nuage. Puis, tout d'un coup, son expression changea, à présent, il paraissait autant surpris qu'excité. Ce changement brutal de comportement me surpris si bien que je regardai à mon tour le ciel. Mais, rien, tout était normal. (même si dans ce contexte, le mot normal est quelque peu inapproprié). Le gros matou se tourna d'un coup vers moi et me tendit un second parapluie, cette fois, tout entier. _ Désolée, mais il me semble que je n'en aurai pas besoin, lui lançai-je tout en repoussant le parapluie. _ Vous auriez tort de le refuser jeune demoiselle. Nous allons bientôt assister au déluge du siècle ! Que dis-je ? Du millénaire ! Vous allez voir, ce sera formidable. Je ne voyais pas vraiment en quoi le « déluge du millénaire » pouvait paraître aussi plaisant et je ne tardai pas à lui faire comprendre que je ne voulais pas de son parapluie. _ Non, vraiment, je ne … Je n’eus pas le temps de finir ma phrase, que déjà, un poisson me tomba sur la tête. Oui, c'était bien un poisson, une sardine même. Je la tenais dans ma main puis la laissai tomber vulgairement sur le sol, ce qui semblait être une aberration au vu du regard effaré de mon nouvel ami le chat. Etant donné que nous allions effectivement avoir affaire à une bonne grosse pluie (de poissons, je tiens à le rappeler au cas où vous seriez déjà égarés), je pris le parapluie, l'ouvrit puis le tins au dessus de ma tête. Et voilà, le moment arriva, il se mit vraiment à pleuvoir, et des centaines, voir des milliers de sardines, se mirent à tomber du ciel. Amusée, je remarquai que la météo avait un étrange effet sur le matou qui chantait et dansait. Il était tellement absorbée par les poissons, qu'il m'oublia et me bouscula. A ce moment là, j'ai bien crus que j'allais devenir folle, et il y avait de quoi. Ma maison avait disparue, je me trouvais au milieu d'un gigantesque marais, ma seule compagnie était un chat, énorme, qui parlait, qui tenait un parapluie, et enfin, il s'était mis à pleuvoir des sardines. Je voulais m'en aller, rentrer chez moi, retrouver ma vie, normale. Je me mis à pleurer mais mon nouvel ami (si je puis l'appeler ainsi) remarqua ma tristesse et me tendit sa patte libre afin que je puisse me relever. Après tout, je me dis qu'il ne paraissait pas bien méchant et et il me semblait pouvoir lui faire confiance. Il plongea alors de nouveau son regard dans le mien puis me dit : _ Miaou ! Le poisson c'est bon mais il ne faudrait pas perdre notre temps par ici. Il ouvrit grand sa bouche et me lança joyeusement, allons-y ! Bon, d'accord, il était gentil, mais il me faisait toujours, vraiment, un peu, beaucoup peu. J'ai donc hoché la tête et commençai à le suivre alors qu'il marchait déjà le long d'un petit chemin qui semblait s'enfoncer dans les ténèbres. Nous nous étions mis à marcher depuis un long moment maintenant, mais, malgré les kilomètres et les heures qui passaient, le paysage ne changeait pas. Autour, de nous, se trouvaient toujours les mêmes arbres, morts, fléchissant sous le poids des années. Le ciel lui non plus ne changeait pas, la lune à présent apparente restait figée. Peut être n'était-ce lié qu'à mon imagination, mais monsieur chat (je l'ai appelé ainsi) ne semblait pas le moins du monde choquait par cet étrange événement. Il fixait l’horizon, et même si j'étais derrière lui, on pouvait facilement imaginer son regard vide perdu au loin. Il continuait à marcher encore et encore, sans s'arrêter, infatigable (et moi aussi étrangement), jusqu’à ce que, finalement, il stoppa nette sa marche. Tout en regardant toujours au loin il me lança froidement : _ Tu as l'air d'être une bonne petite. En général, les humains qui pénètrent ici, finissent tous par perdre la tête. Ils délirent, disent des choses insensés et meurent. Je pense pouvoir te laisser partir, mais, sache une chose. Dans ce monde, le rêve devient la réalité, la réalité devient le rêve. Tout ce qui est censé est censé, tout ce qui l'est, ne l'est pas. Ne te laisse pas dévorer par la folie, toujours, quoi qu'il arrive, part droit devant. _ Attendez ! Je comprend pas vraiment ce que vous dîtes, ça n'a aucun sens voyons ! Il se tourna alors d'un coup, un étrange sourire sur les lèvre qui me glaça le sang. Il pencha alors sa tête sur le côté et me dit : _ Petite, j'espère que tu m'as bien écouté, parce que ce sera pour toi le seul moyen de survivre. Décontenancée, je fis un pas vers lui, mais tout disparu. Le marais, le chat, les arbres, tout. A présent, j'avais les pieds enfonçaient dans l'herbe, une légère brise marine balaya mon visage, tandis que l'eau caressait mes chevilles.
The heroe's night, la nuit des héros.
Spoiler:
Il fait froid ce soir sur les toits.
Il fait noir, mais je vois très clairement l'ensemble des rues bariolées de tant de couleurs. Les costumes des héros se mélangent au sang de tant d'hommes. Suis-je réellement responsable de ce génocide ? les journaux disent que oui. Faites attention au corbeau, il ne vous sauvera pas mais vous dévorera. Rentrez chez vous, retournez à l'école, la vie de héros n'existe pas, elle ne vous ira pas. C'est tout ce qu'ils ont dit, tout ce qu'ils avaient à dire, mais pour moi c'est déjà bien assez, risible et puéril. Grâce à moi, vos plus grandes peurs ont disparu. Inutile de prier ou de me remercier, agenouillez-vous, et c'est tout.
Voilà, je recommence à délirer, ça m'apprendra à traîner si tard, mais avant de partir me coucher je dois finir ce que j'ai commencé. Lorsque vengeance sera faite, enfin je pourrai me reposer. Je me lève brusquement, tend oreille, il y a du mouvement en bas, mais cette fois pas de couleur. En fait il donc parti ? Périra-t-il lui aussi ou au contraire, pourra-t-il m'accompagner ?
Les stylos
Spoiler:
A jamais dans leur écrin, enfermés, mâchouillés, triturés, démontés, victimes de l'ennui, élèves les plus attentifs, ce sont nos stylos, prisonniers, à jamais.
Richard, le poisson rouge
Spoiler:
Pas un jour ne se passe sans que je pense à toi. Et, à chaque fois que je te vois, je reste pantois. Ne quitte jamais ton écrin, je t'en pris, pour toujours reste auprès de moi. Peu m'importe le fait que ta voix ne porte pas, Peu m’importe le fait qu'amnésique, à jamais tu seras. Grâce à toi, je souris chaque soir. Merci, merci Richard.
Fanfiction, Bleach
Proloque :
A venir ...
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Dim 19 Fév - 2:26
J'adore ! x) Je n'ai pas eu le courage de lire le long mais une prochaine fois promis ^^ Les 3 petits chats est mon preféré
sunshine
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Dim 19 Fév - 3:11
+1 Sun' -J'adore ton style :looove:
Rave.
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mar 21 Fév - 7:47
Celui des trois petits chat est très bien écrit. J'adore :D
Natla_Dream
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mar 21 Fév - 8:54
superbe *O*
carotte
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mar 21 Fév - 9:25
Merci beaucoup pour vos avis :)
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mar 21 Fév - 11:52
J'aime beaucoup l'ébauche sur les lamas. Et 'les stylos', fantasmatique ! J'ai fortement appréciée l'histoire de Monsieur chat. :26:
lip.
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mar 21 Fév - 23:26
J'aime beaucoup celui des trois petits chats et de Monsieur le chat, fait tout en "é" :)
Lucette
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Ven 24 Fév - 2:32
Tu sais déjà ce que je pense des tes ébauches (:. Mais je rajoute aussi que tu as un style bien à toi, j'aime particulièrement les trois petits chats, que j'avais déjà commenté me semble-t-il sur le topic des écrivaines :p.
Mrs Walker
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mer 11 Avr - 8:27
on attends toujours le petit texte sur les illusions ! :D
carotte
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Ven 20 Avr - 9:12
Zombies *.*
On en a peur On les fuit, les évite On ne comprend pas Leur démarche, chancelante Leur bave, dégoulinante Le sang qui gicle, la chair qui se déchire On ne comprend pas On court, on s'essouffle Et puis on en meurt
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Ven 20 Avr - 9:29
ils agoniseeeeeent 8D tu aurais pu etre plus morbide :P mais c'est très sympas :)
Lucette
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Dim 22 Avr - 6:02
Merci !
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Dim 22 Avr - 8:19
han mon dieu j'adore ce petit texte *-* surtout "On ne comprend pas On court, on s'essouffle Et puis on en meurt" j'ai souris à la fin *-* bravo !
Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Sam 16 Juin - 1:08
Merci !
Des news !
La traque: L'eau glacée du fleuve coula en minces filets d'eau au travers de ses doigts, bleuis par le froid. Autour d'elle, les oiseaux s'était tus, la nature mourait, lentement, disparaissait en une longue plainte, alors que la neige tombait. La traque continuait.
Rêves: Ile ne sème sur son chemin que des mots, Parcourt Terre et mer, baigne dans quelques vers, Esquisse un sourire, jamais, ne verse une larme, Fidèle compagnon des enfants, Une poignée de sable pour seul présent, Le sommeil est son domaine, Le ciel est son refuge, Et enfin, tous sont endormis.
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Sam 16 Juin - 4:01
Han "trois petits chats" *_* ! j'aime trop.(:
0ula j'adore le "monsieur chat" surtout la fin :"A présent, j'avais les pieds enfonçaient dans l'herbe, une légère brise marine balaya mon visage, tandis que l'eau caressait mes chevilles." tu as de style .. Hate d'en voir plus :3
"les stylos" est magnifique aussi .. la façon dont tu exprimes tes opinions et tes pensées , you must be proud of yourself.
"Richard" .. si je n'avais pas vu "le poisson rouge" j'allais dire que tu allais parler d'un amant.. bref xD j'adore ce que j'apprécie dans tes écrits , c'est la fin , la chute quelques fois! j'aime bien tes news .. surtout "Rêves"
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Mer 1 Aoû - 8:24
Merci !
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Jeu 2 Aoû - 0:41
Up sorry.
Citation :
« C´est le temps de l´amour Le temps des copains Et de l´aventure Quand le temps va et vient On ne pense à rien Malgré ses blessures »
Bras dessus, bras dessous, Le même pas, rythme millimétré, Un, deux, trois, Un, deux, trois, et on remet ça.
« Car le temps de l´amour C´est long et c´est court Ça dure toujours On s´en souvient »
le soleil tape, trop, mais qu'importe le temps, ils sont là, les yeux brillants, Ils rient, jouent, se fondent dans les herbes folles qui s’agitent.
« On se dit qu´à vingt ans On est le roi du monde Et qu´éternellement Il y aura dans nos yeux Tout le ciel bleu »
Pierre inconfortable, tant pis, les nuages nous visitent. Jumelles, papier, stylo, Prêt, prêt, prêt. Le vent se lève.
« C´est le temps de l´amour Le temps des copains Et de l´aventure Quand le temps va et vient On ne pense à rien Malgré ses blessures »
D'amour et d'eau fraîche, terme fort bien choisi, noté. Il pleut. Ils rient. Main dans la main, Bras dessus, bras dessous.
« Car le temps de l´amour Ça vous met au cœur Beaucoup de chaleur Et de bonheur »
Thermomètre en main, Mi-juillet, quatorze heures, Noté, quinze degrés, noté. Fraîcheur soudaine, et, des sourires plus beaux, encore.
« Un beau jour c´est l´amour Et le cœur bat plus vite Car la vie suit son cours Et l´on est tout heureux D´être amoureux »
L'eau jaillit, mains levées vers le ciel. L'amour fait prier ? Observations, notées. Ils sont encore là, pourtant...
« C´est le temps de l´amour Le temps des copains Et de l´aventure Quand le temps va et vient On ne pense à rien Malgré ses blessures »
L'amour ne dure qu'un temps. Phénomène inexpliqué, étrange. Éphémère, durable ? Papier, rangé. Thermomètre, éteint. Je reviendrai demain.
« Car le temps de l´amour C´est long et c´est court Ça dure toujours On s´en souvient »
Llama
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Sujet: Re: L'atelier d'écriture de Tata Meg' Dim 5 Aoû - 7:33
J'ai lu ton poème , et j'ai réellement aimé ton style d'écriture :33. Surtout à la fin ♥ ! Continues Marie <3<3